Journée nationale de la vérité et de la réconciliation
Le mardi 30 septembre, Fierté au travail Canada souligne la Journée nationale de la vérité et de la réconciliation. Bien qu’il ne s’agisse pas d’un jour férié, notre guide du personnel prévoit ce jour de congé payé. L’intention est de nous donner un espace et un temps de réflexion sur nos efforts personnels et collectifs en vue de la réconciliation.
Regarder vers l’avenir
Le vendredi 10 octobre 2025, nous tiendrons une séance facultative pour le personnel afin de définir la réconciliation et la terminologie associée. Cette séance sera l’occasion de :
- passer en revue les initiatives de réconciliation antérieures de Fierté au travail Canada et d’analyser ce qui a fonctionné, ce qui n’a pas fonctionné et les leçons que nous pouvons en tirer;
- décortiquer les concepts de décolonisation, d’indigénisation, d’anticolonialisme et d’autres qui peuvent avoir des significations variables selon la personne à laquelle on s’adresse;
- partager des constats et identifier les champs nécessitant un avis externe, afin de mobiliser nos réseaux et de faire appel à des spécialistes autochtones en soutien à l’orientation de la prochaine phase de notre action.
Au cours des deux dernières années, nous avons élaboré un Plan d’action d’engagement autochtone structuré selon six axes principaux :
- Reconnaître l’histoire anti-autochtone et les dynamiques coloniales institutionnelles.
- Suivre et mettre en œuvre les appels à l’action locaux, nationaux et internationaux.
- Créer un milieu de travail accueillant pour les personnes autochtones en emploi et en recherche d’emploi.
- Établir des liens authentiques et durables avec les communautés autochtones.
- Développer des programmes et ressources pour le personnel bispirituel et autochtone.
- Mesurer et faire état des progrès réalisés en matière d’appartenance, de dignité et de justice.
Nous sommes fier·ères de vous annoncer que nous avons mené à bien les initiatives prévues dans ce plan. Notre travail est toujours ancré dans la responsabilité et l’apprentissage, qu’il s’agisse de réviser les politiques internes et les reconnaissances territoriales, de donner la priorité aux voix bispirituelles et autochtones dans nos programmes ou d’établir de nouveaux partenariats avec des organisations autochtones.