Gestionnaire principal(e), Urgences sociales
Ville : Canada
Catégorie : Services juridiques-Réduction des risques et résilience
Industrie : Civil and Social Organizations
Employeur : Canadian Red Cross
Titre : Gestionnaire principal(e), Urgences sociales
Lieu de travail de l'employé : Partiellement virtuel / hybride (Canada)
Statut d’emploi : Permanent à temps plein
Fourchette salariale : 77,000 $ - 96,000 $ / année
La Croix-Rouge canadienne (CRC) - une organisation inspirante à but non lucratif, aide les personnes et les communautés au Canada et dans le monde entier en cas de besoin et les soutient dans le renforcement de leur résilience. En tant que l’un des meilleurs employeurs au Canada en 2024, nous nous engageons à offrir un environnement de travail accessible, diversifié, inclusif et sans obstacle.
Tâches et responsabilités :
Responsabilité 1 : Gestion des relations et stratégies
- Sous la direction de la vice-présidence du programme de réduction des risques et de renforcement de la résilience (RRR), et en collaboration avec l’équipe nationale et les équipes des zones géographiques, veiller à la mise en œuvre fructueuse de services d’intervention en cas d’urgences sociales dans les zones géographiques et à l’échelon national.
- Assurer la direction des activités de communication et de mobilisation avec les parties prenantes internes en ce qui concerne la conception, le développement et l’évaluation de programmes; prodiguer des conseils sur la stratégie initiale et continue de gestion du changement.
- Faciliter l’adaptation et la mise en œuvre de ressources et d’activités en conformité avec la stratégie et le cadre d’intervention en urgences sociales à l’échelon national.
Responsabilité 2 : Engagement communautaire à l’appui des interventions
- Coordonner la mise en œuvre d’un processus visant à encadrer l’élaboration d’un programme et d’un cadre d’intervention en réponse aux crises en cas d’urgences sociales dans des communautés autochtones.
- Faire le suivi de l’approche d’intervention de la CRC en contexte de crise sociale ou de situation d’urgence pour qu’elle soit plus en phase avec les priorités autochtones et avec notre engagement envers la réconciliation et qu’elle tienne compte des spécificités culturelles, des exigences émergentes et des pratiques exemplaires.
- Contribuer au développement et à la mise en œuvre de normes, d’outils, de processus et de flux de travail afin d’appuyer les interventions auprès des communautés autochtones (en cas de crises et de catastrophes).
Responsabilité 3 : Planification des effectifs et normes connexes
- Définir et recommander des modifications aux normes, méthodes et processus de prestation de services pour contribuer à l’amélioration continue et pour répondre aux besoins actuels et futurs à l’échelon national et dans les zones géographiques.
- Pouvoir influencer les méthodes de travail, les processus, la prestation de services et la gestion du changement entre les équipes et les parties prenantes de son propre service et d’autres services et savoir communiquer de l’information à ce sujet.
- Participer à la planification des effectifs et la guider, résoudre les conflits et encadrer les zones géographiques en offrant de la rétroaction.
Responsabilité 4 : Gestion et évaluation de programmes et établissement des rapports
- Gérer la planification, la mise en œuvre et l’évaluation de programmes en collaboration avec les principales parties prenantes, en conformité avec les stratégies et objectifs nationaux.
- Faire le suivi et évaluer les retombées du programme et son efficacité par le biais de la collecte et de l’analyse de données et de la production de rapports, et utiliser les résultats obtenus pour améliorer les programmes et favoriser l’apprentissage.
- Rédiger des rapports de programmes, des propositions de financement et d’autres documents de programmes, en conformité avec les exigences et lignes directrices organisationnelles.
Responsabilité 5 : Gestion d’équipe
- Diriger l’élaboration de plans de carrière et de perfectionnement professionnel des employé(e)s sous sa supervision.
- Renforcer le recrutement du personnel et les processus et structures d’intégration par rapport aux normes.
Profil recherché :
- Détenir un diplôme universitaire d’un établissement d’enseignement reconnu dans une discipline pertinente (Psychologie, travail social, santé publique ou domaine connexe des services à la personne) ou avoir acquis une combinaison équivalente d’études et d’expérience.
- Posséder de sept à neuf années d’expérience en gestion de programme, en gestion administrative, en développement communautaire, en psychologie ou dans un domaine connexe.
- Posséder de l’expérience professionnelle au sein de programmes destinés aux communautés autochtones ayant pour objectif de renforcer la résilience de leurs membres dans le cadre d’efforts d’intervention durant une situation d’urgence ou une crise et après un traumatisme; faire preuve de sensibilité vis-à-vis de la culture autochtone et posséder une expérience en mobilisation des communautés autochtones; enfin, avoir une bonne connaissance des réseaux et des organismes autochtones.
- Posséder une connaissance des appels à l’action de la Commission de vérité et réconciliation et de la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones.
- Maîtriser l’utilisation des applications informatiques habituelles (Microsoft Office).
- Pouvoir résoudre des problèmes complexes en déterminant la cause profonde du problème; savoir procéder à des analyses, tenir compte des risques et recueillir et interpréter des données.
- Pouvoir communiquer, négocier et influencer une variété de parties prenantes internes et externes.
- Pouvoir travailler dans un environnement dynamique, parvenir à gérer des priorités concurrentes et à travailler sous pression. Pouvoir s’adapter dans un milieu en évolution constante.
- Maîtriser l’anglais à l’écrit et à l’oral est essentiel; parler une langue autochtone constitue un atout de taille.
- Posséder un esprit stratégique afin de prévoir les répercussions de mesures et de messages particuliers sur différentes parties prenantes.
- Avoir vécu au sein de communautés des Premières Nations, Métis et/ou Inuits ou avoir travaillé auprès de celles-ci constitue un atout considérable.
- Appartenir à divers réseaux autochtones, démontrer un réel engagement à diffuser et à faire progresser les connaissances tirées des systèmes de savoir autochtones, en conciliant perspectives autochtones et perspectives occidentales.
Conditions de travail :
- La personne retenue travaillera dans un bureau ou un environnement axé sur les projets avec la possibilité de travailler partiellement en mode partiellement virtuel, selon une formule hybride (combinaison de travail en personne et à distance).
- Travailler régulièrement avec des écrans d’ordinateur et à des claviers et s’asseoir pendant des périodes prolongées.
- La personne retenue pourrait devoir occasionnellement faire des heures supplémentaires, le soir ou la fin de semaine pour respecter des échéanciers de projets, appuyer la tenue de réunions ou d’événements ou répondre à des besoins opérationnels.
- Elle pourrait être appelée à effectuer occasionnellement des déplacements pour participer à des réunions, des conférences, pour répondre à des besoins opérationnels ou pour appuyer une intervention d’urgence.
- Elle pourrait être déployée pendant six à dix jours dans une communauté isolée.
- Admissibilité à travailler au Canada : Nous invitons toutes les personnes qualifiées qui peuvent être employées au Canada à présenter leur candidature. Les personnes qui ne sont pas citoyennes ou résidentes permanentes du Canada sont encouragées à examiner attentivement leur visa pour savoir si elles sont en mesure d’occuper le poste pour lequel elles présentent leur candidature. Pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez consulter notre Foire aux questions.
- Si votre candidature est retenue pour ce rôle, vous devrez réussir le processus de présélection et vous soumettre notamment à une vérification approfondie des antécédents judiciaires.
- Comme nous soutenons et travaillons avec des personnes (gestionnaires, collègues, bénéficiaires/clients, bénévoles, donateurs et partenaires externes) et avec des communautés à travers le Canada et dans le monde entier, les candidat(e)s dont la langue maternelle n'est pas l'anglais, pourraient être amenés à utiliser l’anglais dans l’exercice de leur fonction.
Les langues officielles reconnues au sein de la CRC sont le français et l’anglais. Toutefois, des compétences et une capacité à communiquer dans une ou plusieurs langues autochtones et à s’adapter aux protocoles autochtones sont considérées comme des atouts.
#RecrutementRegulier